LE PIONNIER DE L'ART SUR SOL
s’inspire de l’univers de la collection BIOCERAMIC MoonSwatch
Swatch a confié à l’artiste contemporain Saype la création de deux œuvres éphémères inspirées de la collection BIOCERAMIC MoonSwatch.
Premier projet artistique né de l’univers Moon-Swatch, cette collaboration ouvre un nouveau chapitre pour la marque, intimement convaincue que l’art et les artistes ont le pouvoir de rendre le monde meilleur. Swatch est fier de participer à cette collaboration inédite, aux côtés d’un artiste innovant et engagé.
« Depuis toujours, l’humanité contemple les étoiles. Et même si la science a effacé l’idée d’une voûte céleste au profit d’une infinité vertigineuse, la magie reste intacte. C’est au milieu des paysages lunaires du Kenya que j’ai choisi de m’exprimer, un lieu si surréaliste qu’il nous fait oublier que nous sommes sur Terre. » Tout comme la collaboration entre Swatch et OMEGA, « c’est l’histoire d’un rêve universel : celui de voyager à travers cet univers qui nous semble si proche à la tombée de la nuit, de voler jusqu’aux étoiles, de jouer comme des enfants. »
Pionnier du nouveau mouvement land art, Saype a ainsi imaginé pour Swatch deux fresques éphémères : avec pour décor les paysages époustouflants du Kenya, deux enfants s’émerveillent des mystères de l’univers, rêvant d’espace et de s’envoler vers le ciel. La représentation de la fillette mesure 120 mètres de large sur 60 mètres de hauteur (7 200 mètres carrés), tandis que celle du garçon s’étend sur pas moins de 50 mètres de large pour 120 mètres de hauteur (6 000 mètres carrés).
Lorsqu’on les observe du ciel, ces fresques géantes se font face, comme pour se répondre. Le garçon représenté dans l’œuvre « His Bright Dream » a l’air innocent, la tête dans les étoiles. À l’inverse, la fillette de « Her bold Dream » semble plus sensible à l’univers qui l’entoure.
Pour créer ces installations uniques, Saype utilise une peinture écologique qu’il a développé lui-même et qu’il applique directement au sol. Saype et son équipe de 10 personnes, dont plusieurs locaux Kenyans, ont utilisé 600 kg de pigments pour réaliser ces peintures – en plus des outils rapportés d’Europe.
Les conditions météorologiques ont ajouté une dose d’imprévisibilité au projet, que Saype a abordé avec optimisme et flexibilité. À deux jours de route de Nairobi, le site sur lequel ils devaient travailler est si isolé que les téléphones portables ne fonctionnent pas. Même si les intempéries l’ont empêché de repérer les lieux au préalable, Saype a finalement opté pour un champ dont la taille lui permettait de dessiner ses œuvres géantes. Le processus de création a lui aussi été impacté : à peine Saype avait-il terminé son travail que des pluies inattendues se sont abattues sur la zone et ont emporté les fresques fraîchement peintes. Mais une fois encore, l’équipe ne s’est pas laissé décourager. Saype s’est remis au travail de bon cœur, prenant ce contretemps comme une opportunité d’exercer son talent.
Les fresques de Saype disparaissent au rythme des aléas de la nature. Pour garder une trace, nous les avons immortalisées à l’aide de drones dont les photographies sont à découvrir en ligne dès le 26 mai 2023.
