L’ivresse des sommets,
une montre au poignet
Les montres-bracelets mécaniques capables de mesurer l’altitude sont aussi rares que l’oxygène au sommet de l’Everest. Et d’autant plus fascinantes. L’exercice de l’altimètre se compte même sur les doigts d’une main — chaudement gantée, bien sûr !
S’ils sont très présents dans les airs et sous les mers, les horlogers sont nettement plus rares sur les cîmes. Il y a bien sûr les quelques marques à l’ADN alpin, comme Montblanc et… Alpina. Rolex aussi, qui soutient historiquement les expéditions en montagne. La Rolex Oyster Perpetual fut d’ailleurs la première montre sur le Toit du monde, en 1953. Côté italien, Sector No Limit épaulait Mike Horn en 1994 pour une folle descente du mont Blanc en body board ! L’aventurier collabore désormais avec Panerai — qui équipe aussi Jimmy Chin, alpiniste et cinéaste, avec ses montres de… plongée ! Après tout, si ses modèles résistent aux profondeurs, pourquoi ne braveraient-ils pas les hauteurs ? Les faces les plus risquées présentent pourtant leurs propres défis, à commencer par la mesure de l’altitude. Parmi une multitude d’instruments électroniques, quelques spécimens mécaniques sont capables de traquer les mètres au fil de l’ascension.
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