L’ascension du mont Blanc encadrée

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Parution
01.07.2019

Le débat était lancé depuis l’été dernier : fallait-il créer un « permis d’ascension » pour le toit de l’Europe (4’809 m), de manière à réguler le (trop) grand nombre de candidats à l’aventure (25’000 par an) ? Les autorités ont tranché.

Finalement, elles se contentent d’imposer une réservation obligatoire dans l’un des refuges de la voie normale — Nid d’aigle (2’372 m), Tête rousse (3’167 m) ou Goûter (3’835 m). Le dispositif, géré par la Fédération française des clubs alpins et de montagne, assure la traçabilité des personnes hébergées et devrait limiter la surfréquentation du site, réduisant les problèmes de sécurité et d’incivilités, en empêchant notamment les arrivées impromptues... Gardiens et guides devraient retrouver des conditions de travail plus normales.

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